Des salarié-es actifs et retraité-es, des citoyens expriment une colère légitime pour avoir les moyens de vivre dignement, pour plus de justice sociale. Cette colère, la CGT la comprend et la porte au quotidien depuis plusieurs mois et au travers de nombreuses journées d’action et de grèves.
- Plus de 70% de la population désapprouve la politique de Macron.
- Près de 80% de la population approuve le mouvement des « gilets jaunes ».
Le mouvement actuel démontre le profond rejet de la politique régressive de Macron et de son gouvernement et fait apparaître une volonté large de la bloquer et d’obtenir satisfaction sur les revendications., Objectif partagé par notre organisation syndicale.
D’un côté, Macron supprime l’ISF et offre des milliards de cadeaux fiscaux et d’exonérations de cotisations au patronat, aux riches et aux actionnaires.
De l’autre, il bloque les salaires, augmente la CSG, baisse les pensions, détruit le Code du travail et la Sécurité Sociale. Maintenant il s’attaque aux indemnités chômage et aux retraites !
Le gouvernement instrumentalise les enjeux environnementaux, alors que rien ne se fera si on ne prend pas en compte le lien unissant cause sociale et cause écologique. Nous refusons cette nouvelle division orchestrée par l’Élysée entre les citoyens qui seraient responsables en matière environnementale et les autres.
Dans volonté́ de rassemblement et d’unité́, la CGT est au service des salarié-es, des citoyennes et citoyens pour un monde de progrès et de justice sociale. Elle prendra toutes les initiatives dans la période pour permettre à ceux qui luttent de s’organiser afin de gagner sur leurs justes revendications.
L’Union Départementale appelle les Salarié-es, les privé-es d’Emploi, les jeunes et les retraités à manifester :
le Samedi 1er Décembre à 14h00 à partir de la Place Garibaldi
- L’augmentation du SMIC à 1800 euros avec répercussion sur l’ensemble des grilles de salaires mais aussi des pensions et des minima sociaux
- La prise en charge des transports par les employeurs
- Une TVA à 5,5% pour les produits de première nécessité́, notamment le gaz et l’électricité
- Une fiscalité́ juste, tenant compte des revenus, avec en premier lieu le rétablissement de l’impôt sur la fortune.