Entre effet d’aubaine, recherche de profitabilité et tours de passe-passe juridique, la famille Mulliez regorge d’ingéniosité et de sournoiserie pour s’enrichir toujours au détriment des salariés.
C’est sans aucun scrupules que cette famille, classée 6ème fortune de France, enchaîne les plans sociaux et les restructurations dans ses enseignes, prétextant la totale autonomie et indépendance de chacune d’elle.
La CGT du Groupe Mulliez refuse d’être spectatrice d’un tel massacre social orchestré dans un seul but d’enrichissement et, qui plus est, avec la complicité des gouvernants.
Les salariés d’Alinéa, Flunch, Happy Chic, Top office, Auchan, etc. sont confrontés aujourd’hui à l’avidité de cette famille qui se partage le pouvoir dans les enseignes et qui fait sa fortune sur les suppressions d’emplois !
L’annonce des 1.475 suppressions d’emploi chez Auchan, qui n’a pourtant pas souffert économiquement de la crise sanitaire, bien au contraire, prouve bien le mépris et l’arrogance de la famille Mulliez qui est prête à tout pour ses milliards et ses actionnaires.
A quelle enseigne le tour ?
La Fédération CGT Commerce et Services et la CGT du groupe Mulliez ne vont pas laisser les mains libres à la famille Mulliez pour alimenter la misère sociale et elles vont se battre pour la reconnaissance d’une entité juridique unique afin d’obliger le reclassement des salariés concernés dans une des enseignes du groupe et pour permettre la sauvegarde de tous les emplois.
Il est temps que s’arrête cette casse sociale qui enrichit le patronat et plonge dans la misère et la pauvreté des milliers de salariés.
